La moisson de l’âme.

Publié le 21 Avril 2021

C’est le temps de la récolte et rien ne peut l’empêcher. C’est une moisson très particulière car le récoltant est invisible et divin.

Depuis des lustres, nous avons la connaissance d’un déluge de l’âme humaine par un marquage du chiffre de la bête. A contrario, les films fantastiques apocalyptiques nous renvoyaient nos peurs à la destruction de l’humanité. Mais tout est décidément inversé car, il est sujet d’une ascension planétaire et de l’homme. Une lumière puissante et intense pénètre dans la matière, elle provoque une peur viscérale à nos élites fortunés – tels des vampires en quête de noirceur. Ainsi cela se présente sous une menace de la perte de leurs acquisitions. Les âmes deviennent de plus en plus lucides et se démêlent de la matrice du contrôleur-contrôlée. Alors leur arme est de produire des peurs, sous forme de propagande de la modification du climat, de création de film de déluge… afin d’occulter le vrai. La peur nous rattache à la matière en guise de survie. Elle nous voile notre liberté occultée par nos pulsions. Ainsi nous avons peur de la mort, nous ne voulons pas la disparition des choses. Mais notre nature spirituelle est sans tous ces poids d’attachements à une réalité temporelle.

Nous vivons dans la dure réalité de la matière mais nous ne sommes pas cela ! Nous pouvons vivre sur cette croûte terrestre avec une nouvelle éducation de l’esprit pour vivre joyeusement. En somme, ce sont nos croyances, nos importances et en conséquence nos consentements à des moyens , des politiques ou un paradigme. Nous croyons être heureux à travers tout cela. Nous n’avons jamais appris à démêler nos croyances qui justifient notre univers social. Pourtant c’est un art, nos écoles ne nous apprennent pas à voir vraiment le vrai dans le faux. Le vrai est notre nature silencieuse et le faux est tout ce qui provoque le bruit et la souffrance. Ce qui nous sépare de notre vraie nature sont nos croyances, Dieu n’est pas une idée, c’est une présence et c’est toute la différence.

A tort l’utilisation des moyens nous amène à un certain bonheur mais il reste médiocre. Nous avons peur de mourir, ainsi nous croyons au vaccin pour nous protéger contre un intrus invisible. Tous se précipitent aux bienfaits vaccinaux alors que notre véritable ennemi est notre peur venant de nos conditionnements. Vous avez donc un choix à faire, être dicté par une politique sanitaire, vos craintes ou d’avoir suffisamment de lucidité pour faire confiance à votre vraie liberté, issue d’un travail de démêlage du vrai et du faux.

Notre véritable bonheur est celui d’une appréciation de la nature, à l’instant d’une observation d’une fleur à la rosée du matin. Ce regard est épuré de la pensée. À cet instant l’âme fusionne avec l’observé pour ne faire qu’un. C’est un niveau vibratoire où l’ordinaire ne peut pas atteindre, car il ne sait pas voir vraiment la nature des choses. Tout est présence, nous sommes présences, dès que nous nous accordons à la réalité unique, où tout "est", nous incarnons le silencieux, l’imperturbable. Il est difficile, pour l’ordinaire de saisir cette liberté d’esprit car il s’efforce de comprendre en utilisant la pensée. Hors, elle est un antagonisme au réel, nous observons un observateur et un observé. Entre eux il y a un espace faisant croire à l’observateur qu’il est unique. Cette matrice peux se dissoudre dès que la pensée est identifiée par son créateur. La difficulté de l’épreuve est l’attention. Il faut être attentif pour traquer la pensée. Elle est perçue comme une flamme, d’attention. Par son pouvoir, nous développons notre liberté. Nous sommes des créateurs et , il convient de prendre conscience du pouvoir de nos créations. Qui est le créateur ? Nous sommes responsables, par nature spirituelle, de nos œuvres et par ce fait de nos croyances, de nos actes, de nos consentements, de nos projets…

Le mot est une interprétation, elle sépare du vrai, tout comme le jugement. Nous avons créé le mot virus, devenu une entité indivisible. La maladresse est de sans cesse nommer des choses, sachant que c’est toujours issu d’une interprétation. Nous avons qualifié le virus sous la branche "épidémiologie" s’il devient contagieux et dangereux. Ce qui nous intéresse, concernant l’utilisation du mot « virus » est son degré d’importance. Mettre de l’importance à une entité ou à un fait, est alimenter en croyance de toute sorte. Nous amplifions sont phénomène et sont champs d’action car nous sommes des créateurs en toutes puissances. Nous sommes des créatures divines. Tant que l’homme ne prendra pas conscience de son pouvoir de co-créateur divin, il sera littéralement esclave de ses créations.

Nous observons une autre variante du mot « importance ». Un contrôleur use à bon train de l’importance des choses. Sans cesse, il contrôle les gens en mettant en importance la faiblesse d’autrui ou dans son extrême, appâtant un autre pour mieux assouvir son esprit. Ainsi le degré d’action de l’importance prend un pouvoir exceptionnel et dangereux pour ceux n’ayant pas encore suffisamment de lucidité.

Un état peut se servir de l’outil « importance » pour maintenir l’exploité. Nous pouvons observer, les médias nous informent une nouvelle épidémie devenue meurtrière. Dans ce cas, un observateur écoute le média qui est l’observé. Il y a un espace antagoniste entre eux, en raison du consentement aveugle de l’observateur à l’observé. En retour l’observé peut amplifier son phénomène. Sans prise de conscience de l’observateur, le véritable créateur, la porte est ouverte à toutes dérives. Nous avons donc le choix d’être assujetti au conditionnement de l’exploiteur, pouvant réduire le nombre d’exploité, s’il a une feuille de route précise.

Nous sommes déjà libres de décider. Nous avons tous un libre arbitre. Mais le chantage par la peur, dû à l’amplification du problème décidera du sort des consciences. Ce libre arbitre sera toujours respecté, malgré la manipulation pouvant être maîtresse du jeu de moisson des âmes.

 

 

 

Rédigé par Sri Krishnamurtirien

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