Ce nouvel âge.

Il arrive, lors d'un mécontentement et en conséquence d'un réveil de conscience que nous remettons la faute à l'illusion. Ainsi par ce rejet nous prenons comme nourriture les idéologies, les croyances et pratiques de toutes sortes. Il est évidemment plus facile de refuser, de rejeter en substance… Mais c'est une erreur et sans doute de premier ordre pour la compréhension des choses.

Tout est enfin prêt depuis très longtemps pour dissuader les consciences, nous y trouvons les religions mais finalement le plus rusé des idéologies est cette philosophie qui se veut du nouvel âge. Voyant les pertes d'adhérents pour les anciens dogmes il est inventé ce mouvement de co créateur, de la loi d'attraction ou d'autres plus sectaires intégrant la pseudo science dans la spiritualité.

Il est évident qu'il est de plus en plus difficile de démêler le vrai du faux mais aussi plus subtilement le faux dans le faux. L'intérêt de telle pratique est la rupture de votre potentiel d'écoute  sur le mouvement des choses et notamment, vous l'avez compris  l'étude fondamentale de l'illusion.

Le rejet du monde de la matière, de l'illusion est en majeur partie à cause de son obsolescence apportant une lourdeur afin de prendre de l'altitude. Ainsi nous observons des retraits vers des coins isolés, une cessation d'activité... En résumer l'isolement est ce choix de référence pourvu de rester le plus propre au sens du pêché. Ou soit nous trouvons des distractions très attrayantes sur l'idée de la loi d'attraction et tout le monde est beau dans un monde de bisounours.

Notre enfermement est issus d'une ignorance des mouvements fondamentaux issue de la matière et donc de l'illusion. Ce mouvement est globalement le même pour toutes choses ici-bas, dans le grossier et dans l'infini subtil. Le connaitre c'est enfin se rendre à l'évidence de son fonctionnement afin d'en sortir ...mais pas tout à fait ...afin de le sublimer. Cette nouvelle philosophie nouvel âge a finalement pris à parti ce mouvement invisible que sont les pensées. Elle a donc intégrée la science dans la spiritualité créant un obstacle entre le vrai.

Les guerres sont issues de cette incompréhension de ce mouvement, elles sont expliquées de part nos consentements à divers groupes de croyances et de maîtres. Ce mouvement est constitué de contraire entre le positif et le négatif, entre une acceptation et un refus…Nous exprimons ce même mouvement inlassablement par nos actions, par des guerres et des périodes de paix. Par conséquent nous agissons par un fondamental identique. L'homme n'est aucunement unique par sa culture mais il est totalement fondamentalement identique.

Vous l'avez saisi, il existe ainsi certaine force usurpant les consciences par ce refus expressément d'étudier ce mouvement fondamental. Cette étude bifurquée par l'ombre est une discipline naturelle mais oubliée à force d'usage du faux dans le vrai. 

C'est enfin la possibilité de voir les choses autrement par la pensée. C'est véritablement une percée de la conscience par l'étude de la pensée. Nous avons donc à prendre comme ardoise l'illusion. Nous sommes pour ainsi dire dans une école et la matière en est l'enseignement. Notre outil de progression est notre flamme de l'attention. L'essentiel est de voir ce mouvement sans une possible intervention de la pensée qui est en fin de compte un antagonisme au vrai.

Pour en apprendre d'avantage sur vous, laissez faire, n'ayez aucune résistance et appréciez chaque moment de votre vie. Il ne sert à rien de spéculer ou de comparer pour être libre mais il s'agit cette fois de contempler la moindre fleur près de vous. Cet exercice ce fait sans jugement et vous vous rendrez compte finalement que vous vous jugez aussi durement par une certaine forme de culpabilité que vous avez entretenu le long de votre vie. 

La notion du pêché est un conditionnement. Ainsi il permet le jugement et donc la culpabilité de soit ou une forme de victimisation. l'idée d'un enfer ou d'un purgatoire renforce la position du pêché. Mais il n'y a pas que ce support pour apporter de la culpabilité. En exemple nous avons la politique du climat menée aussi durement pour taxer les plus démunis en justifiant notre responsabilité et ainsi instrumentalisant la culpabilité pour une gigantesque affaire d'argent. Il n'y a alors pas que dans les nouvelles philosophies du nouvel âge pour nous rendre compte de nos asservissements à des exploitants.