Le secret de la fin des temps et la libération de l’être humain.

Nous allons développer la pensée et la nature de l’âme afin de les comprendre, pour nous libérer de la souffrance.

Vous observez, en ces temps de crise sanitaire ou crise politique, il y a beaucoup de bruit constitué de pensée. On n’arrive plus à se repérer sur la paix, la tranquillité de l’esprit dû à ce tumulte mental qui a lieu uniquement en surface, dans ce monde ordinaire. Nous sommes sur un point de rupture, de résistance du mental de l’homme, où les croyances s’effondrent pour laisser la place à l’homme nouveau. Un monde de construction du temps s’évanouit face au nouveau qui arrive percutant nos cellules humaines.

Face à cette crise, et à cette propagande d’information, plus que jamais, nous faisons tout pour arriver à nos fins. Nous dépensons ainsi beaucoup d’énergies dans nos émotions, n’arrivant pas à les gérer, préférant soit la prise de médicament ou de stimulant, ou la version de la culpabilité de soi, qui est un poison. Ainsi la pensée devient antagoniste au vrai, c’est-à-dire à votre silence intérieur.

Tout cela ce passe dans un « temps », que nous avons acquis par définition comme notion primordiale. Ce temps régit un fonctionnement ancien qui est basé sur le passé et sur un futur projeté. Exemple nos pensées proviennent d’un traumatisme, plus principalement, nous agissons tous à travers lui. Nos pensées peuvent aussi venir des plaisirs d’antan que nous voulons évidemment retrouver, par continuité. Nous renfermons donc un disque dur, mais répétant sans cesse la même lecture, continuellement, sans prise de conscience, qu’il est finalement rayé. La tête de lecture se situe dans la compréhension du contenu. Nous créons notre futur basé sur l’ancien, nos actes répondent toujours à cause de l’ancien de sorte à être dans le temps et jamais dans le présent. Ainsi, nous ne sommes plus conscients de ce fonctionnement.

Cette mémoire concerne aussi toute la connaissance acquise, par accumulation, de manière linéaire en parcours scolaire, en formation, un formatage de l’esprit, un conditionnement issu d’une éducation sur plusieurs générations. Cela implique un spectre large, un contenu, impliquant le fonctionnement ordinaire de notre esprit. Nos actes, obéissent à tout ce contenu.

Avec tous ces agissements, nous ne posons pas la question, « qui pense ? Suis-je le créateur de tout cela ? Suis-je responsable ? Mais avant de me sentir responsable de la pensée créée, il faudrait évidemment la traquer. Il s’agit en effet de porter une attention particulière à ce fonctionnement ancien pour nous libérer du temps et de la souffrance. Nous verrons un fonctionnement global pour tout être humain, de manière identique. Cela produit une prise de conscience, nous ne sommes pas uniques et tout fonctionne pareillement.

Nous avons coutumes de nous juger, d’où la culpabilité de soi étant un poison pour notre ouverture au vrai. C’est l’exercice le plus facile pour le mental inférieur. Tandis que, si l’on veut comprendre la souffrance en nous, il faudrait une énergie incroyable, celle d’une quête intérieure, existentielle et invisible. C’est celle de l’attention.

Ce sont deux mécanismes différent. Le premier a pour exercice la culpabilité, la victimisation ou le jugement d’autrui. L’autre a pour but une observation passive sans jugement possible, sans l’intervention de la pensée du mouvement des choses. Ainsi, nous amenons un silence, une pause de l’esprit, nous libérant du bruit, du fonctionnement ordinaire. La nature de l’âme est silencieuse, nous la développons à force, de méditation dans le bruit, d’attention dite passive et réceptive. C’est d’ailleurs une éducation vraie, absente de nos écoles.

Un exercice, promenez-vous dans la forêt et sentez la présence de toute chose environnante, les arbres, les végétaux. Sentez aussi votre présence, vous aurez de suite un état de paix. Mais par contre, à cause de vos préoccupations de vos pensées, du travail, alors il s’interrompt le contact de toute chose de la nature, comme présence. Tout est présence, tout est présent et c’est la vie même, elle coule de source abondamment, tel un long fleuve tranquille et silencieux. La nature de notre présence est identique à celui du présent. Mais dans la vie quotidienne, nous avons une conduite acquise par conditionnement, celui du temps.

Au fil de la pratique, vous prenez conscience que vous êtes l’arbre, « je suis tous les éléments de la nature dans la forêt, pour enfin saisir le JE SUIS tout cela ».

Il faut comprendre, dans cette vie ordinaire, il y a une matrice constituée d’un manipulateur et d’un manipulé. Le manipulateur a toujours besoin du manipulé et vis-versa, il se joue alors un jeu de contrôle et de résistance, pour la survie de la matrice. Les serviteurs du temps interviennent pour l’alimenter, pour nous empêcher de voir notre réalité du présent.

Ajoutons une analyse supplémentaire. Dès que nous pensons, il y a un observé et un observateur. Entre les deux il y a un espace nous occultant le réel, le vrai en toute chose, c’est-à-dire le présent. La pensée est donc antagoniste au vrai, elle créée une distorsion du présent. C’est une courbure, pas du temps, mais véritablement du présent. Il est donc possible d’affirmer notre présence afin de sentir le présent, par une éducation vraie de l’esprit, issues d’un pouvoir d’observation sans intervention de la pensée, du mouvement des choses, de nos pensées, des jeux de contraires. C’est en sommes notre troisième œil qui s’ouvre.

Nous sommes des êtres interdimensionnels. Tout est interdimensionnels. Ainsi vous prenez consciences de votre véritable nature de co-créateur divin. Vous êtes responsables de la création telle que la pensée. Vous êtes saisis d’une paix, d’un silence intérieur, imperturbable. Car vous êtes par nature imperturbable. Vous n’appartenez plus à la matrice en laissant les réactions des énergies contraires. Vous êtes légions à l’univers inter-dimensionnelles. Le fonctionnement ancien s’évanouit tout simplement, car vous avez muté vers une nouvelle espèce. Cela inclus l’absence de jugement de soi et d’autrui pour être silencieux avant tout.

En ayant découvert votre vrai pouvoir de co-créateur, vous pouvez créer vraiment. En même temps, puisqu’ayant revêtu l’armure de lumière imperturbable, vous êtes protégés par les attaques. Vous êtes des guerriers de la lumière. Vous ne serez plus jamais seuls, car vous êtes aidés par une armé de l’invisible.

La peur n’appartient pas à la nature de l’âme étant une énergie sombre et antagoniste au primordiale. Ne soyez plus dans la distorsion, permettant la division, soyez dans l’unicité mutidimensionnelle. La joie, l’appréciation du moment, la contemplation de la rose, l’émerveillement devant la rosé du matin font partis de la vertu de l’âme.